Questions-réponses

E. Steichen, Auguste Rodin devant son Penseur, 1902

Pourquoi avoir écrit ce livre ?

D'abord et avant tout pour me faire plaisir, ensuite pour vivre une nouvelle expérience, enfin pour accroître mes compétences rédactionnelles.

Pourquoi parler du Nord dans un roman de science-fiction ?

Parce qu'il vaut toujours mieux parler de ce qu'on connaît, même si mes connaissances de Lille en 2600 sont assez limitées, je dois bien l'avouer.

Une satisfaction ?

Oui : le roman est un ouvrage du cru. L'auteur, l'éditeur et l'imprimeur sont lillois, l'action se déroule à Lille et l'image de couverture est la reproduction d'une photographie d'un artiste lillois : plus régionaliste, tu meurs ! :-)

Un regret ?

Non, aucun. Ce n'est que du bonheur !

Une anecdote ?

Le 24 mars 2007, une maison d'édition à qui j'avais envoyé mon manuscrit m'a remis la fiche de lecture de "La nouvelle résilience". Je vous retranscris les premières phrases de la conclusion : "Thème très intéressant, sujet approfondi destiné à un très large public. Une science-fiction d'exception. L'auteur ? Un nouveau Jules Verne d'envergure et digne de gommer ce dernier pourtant hors du commun à son époque".

Résultat : je ris à gorge déployée, le pauvre Jules Verne doit se retourner dans sa tombe et... qu'est-ce que ne dirait pas une maison d'édition pour attirer un jeune auteur dans ses filets (je précise qu'elle a quand même le mérite d'avoir lu mon manuscrit) !

Un second roman en vue ?

Pas dans l'immédiat : j'ai d'autres priorités. A l'avenir, pourquoi pas...